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Les traités de conscience de Pierre Abelard

Selon son estimation, le savant français Peter Abelard «a confondu chacun des découverts de l’époque» avec ses réflexions philosophiques. Au sommet de sa renommée, après avoir battu ses professeurs dans des arguments rationnels et fondé sa propre institution, Abélard a reconnu le président de bureau de l’institution de la cathédrale Notre-Dame de Paris en 1115. Ses conférences sur le point de vue grec et la théologie chrétienne ont attiré un grand nombre de collégiens, mais Héloïse d’Argenteuil, âgée de 17 à 12 mois, a résisté aux masses. «Je l’ai découverte, je l’ai chérie, je me suis installée pour qu’elle m’apprécie vraiment», se souvient Abélard dans leur autobiographie. Héloïse existait avec son grand-père Fulbert, un chanoine de votre cathédrale – pas vraiment une personne avec qui on se moque. Cela n’a introduit qu’une légère lutte pour Abélard, qui a conçu un plan pour prendre Héloïse sous les yeux vigilants du canon. «J’étais engagé dans mon choix [de jeune femme], et je souhaitais obtenir des obstacles, afin de pouvoir les surmonter tous avec plus de gloire et de satisfaction», a écrit Abélard. Il se lie d’amitié avec Fulbert via une connaissance mutuelle, et aussi dans un coup de fortune, Fulbert l’engage pour éduquer Héloïse en vue. «Peux-tu y penser, il m’a permis de profiter de son bureau, et d’une copropriété dans sa maison? [Et] cela indique que j’ai découvert que les prospects étaient exclusifs avec elle », a écrit Abelard, clairement satisfait de lui-même. Héloïse est tombée obsédée par son tuteur, qui a été plus d’une deuxième fois son groupe d’âge; leurs séances d’enseignement exclusives ont rapidement dégénéré en instruction de chair. Bientôt, leur plaisir ne pouvait pas être couvert jusqu’aux heures de clarté, et ils réussissaient secrètement la nuit à «exprimer des affections communes». Comme l’un des contemporains d’Abélard l’utilise sans détour, le savant professeur «lui a appris à ne pas être en désaccord mais à forniquer». Des rumeurs sur la situation d’Abélard et d’Héloïse se sont répandues dans tout Paris, tournant à un moment donné aux oreilles de Fulbert. Le grand-père enragé a jeté le professeur loin de sa résidence et dans la rue. Abelard a refusé d’abandonner son nouveau fan. Après avoir loué un condo à proximité de la maison de Fulbert, il a rencontré la bonne d’Héloïse Agaton. Il lui a demandé de trouver un intermédiaire entre eux et Héloïse. Malheureusement pour Abélard, la bonne avait ses propres pensées pour lui: je suis obsédé par toi, Abélard; Je suis conscient que vous aimez vraiment Héloïse, et je ne vous blâme pas; Je veux juste prendre plaisir à la 2ème consacrer vos affections. Ne vous laissez pas perplexe avec des scrupules; une personne prudente doit aimer plusieurs en même temps, alors si quelqu’un doit échouer, il ou elle ne reste pas sans ressources.